Catégories : Aux pieds des femmes Facesitting lèche Homme soumis, Femdom Domination féminine

Je sortais de l'immeuble où je venais, pour pouvoir l'assurer, de visiter un cabinet de médecine psychiatrique, lorsque la plainte d'un moteur de petite cylindrée en sur-régime attira mon attention. Je vis une menue voiture gris métallisé, si sale et cabossée qu'il me fut impossible d'en reconnaître la marque, jaillir du flot de la circulation pour venir se garer à mes pieds en dépit de la bande jaune qui interdisait tout stationnement en cet endroit. La portière conducteur s'ouvrir en grinçant et en sortit une grande femme en maillot de bains deux-pièces, nus-pieds : c'était Odile.
"J'allais à la piscine mais je t'ai vu alors j'ai voulu te faire péter une bise" me dit-elle en s'approchant de moi, arborant un sourire si immense qu'il faisait se craqueler la couche de fond de teint qu'elle s'était appliqué peu avant - très judicieux pour aller se baigner, en effet; ou croyait-elle que ça pouvait lui tenir lieu de vêtements ?
Saisi alors d'une idée subite, j'évitai ses lèvres gluantes et, la saisissant par un bras, fis demi-tour et rentrai dans le bâtiment que je venais de quitter. Avant même que nous prenions l'ascenseur, elle se mit à m'entretenir de l'absence de péripéties de son inexistence. Nous montâmes mécaniquement, puis je l'amenai jusqu'au cabinet psychiatrique en prenant bien soin de la lâcher avant d'y rentrer : tout naturellement, elle me suivit tout en continuant à caqueter.
"Avez-vous oublié quelque chose ?" s'enquit la réceptionniste en me voyant revenir si tôt. "- Oui, de mesurer les distances de sécurité dans la salle d'attente" répondis-je en allant dans la direction ad hoc. "- Mademoiselle est avec vous ?" "- Non, ce doit être une patiente en urgence"
Je jetai un prompt regard avant de passer la seconde porte : Odile m'avait oublié et restait plantée à dévisager la secrétaire, ses yeux brillant d'une concuspiscence carnassière.
Je m'enfermai dans la salle d'attente, comptai mentalement jusqu'à soixante, puis ressortis. La réceptionniste semblait en proie à une crise tétanique : arquée sur son siège, la tête rejetée en arrière, la nuque pliée à 90°, les dents découvertes et les yeux exorbités. Mais sa jupe relevée sur son abdomen, et la crinière de cheveux noir bouclés se trémulant en dessous, eurent tôt fait de ma rassurer : Odile était en train de lui prodiguer un cunnilingus masterclass.
Je ressortis bien vite, satisfait de constater que j'avais vu juste lors de ma première visite dans ce cabinet : tout ce personnel féminin, de la dactylo stagiaire au médecin diplômé, était exclusivement composé de lesbiennes. Et encore plus satisfait de constater le saphisme de la fille de Martine, ainsi que son absence de tendances fétichistes : au moins celle-là me foutrait-elle la paix.
Dans la rue, je trouvai deux policiers munis de képis et de moustaches s'éventant avec leurs carnets à souche en considérant le pitoyable véhicule de la cinglée. A leur attitude, je compris qu'ils attendaient le camion-grue de la fourrière. Je commençai à m'éloigner lorsque me vint une autre idée.
Je rentrai dans une cabine téléphonique et composai le numéro de Martine. Dès que l'eus en communication, je lui exposai la situation de la voiture de sa fille, ajoutant que d'après mon expérience d'assureur, l'état du véhicule allait lui valoir un aller simple pour la casse sans passer par la case "fourrière" où il aurait été possible de la récupérer - quoiqu'en payant une amende supérieure à la valeur vénale de ce pauvre objet roulant.
"J'arrive" me dit Martine "reste là et attends-moi " . Je le fis d'autant plus volontiers que j'espérais, par ma prévenance, mériter sa gratitude et surtout acheter ma libération. Malheureusement, le camion de la fourrière arriva sur ces entrefaites et les deux techniciens s'empressèrent d'accrocher la voiture d'Odile, sans grand luxe de précautions. Je jetai un oeil vers les fenêtres de l'étage en me demandant si Odile était en train de bouffer le minou de toutes les occupantes du cabinet. La Fiat Panda de Martine ne survint, en fin de compte, que lorsque la dépanneuse repartait en remorquant l'épave brinquebalante; un rétroviseur s'en détacha à ce moment précis, son miroir explosant sur le bitume. Puis l'attelage tourna le coin de la rue et disparut à tout jamais.
Martine stoppa à ma hauteur et m'intima "Monte". Je m'empressai d'obéir, contrarié qu'elle soit arrivée trop tard pour que mon idée porte ses fruits. Ma conductrice était manifestement exaspérée, ce qui faisait saillir de grosses veines bleues sur la vieille main qui manipulait le levier de vitesse. Les rides de son visage se mirent à trembloter lorsqu'elle m'expliqua, d'une voix vibrante de rage rentrée "Ma fille m'exaspère. Je ne sais même pas où elle est les 3/4 du temps (j'avais, bien évidemment, passé sous silence la façon dont je m'en étais débarrassée), elle ne fait que des conneries, et la dernière va me coûter une autre voiture, qui sera dans le même état que la précédente dans trois mois"
Puis, alors que nous attendions à un feu rouge, elle se détendit d'un coup et, tournant la tête vers moi, me dit avec un sourire désarmant "Heureusement que je t'ai à ma disposition pour me passer les nerfs. On va chez toi !"
Dix minutes après, nous étions nus dans ma chambre.
"Tu vas me baiser" m'enjoignit-elle, "mais avant, tu vas m'adorer". Et elle s'allongea dorsalement sur mon lit, cuisses et bourrelets écartés, souriant triomphalement à me voir debout devant elle, contraint à satisfaire contre mon gré tous ses désirs. Soumis, je m'agenouillai et commencer à couvrir de baisers la plante de ses pieds, puis les embrassai dessus après avoir sucé ses orteils un par un. Mes lèvres remontèrent le long de ses chevilles, de ses mollets, de ses cuisses ramollies; les plis sur ses genoux indiquaient une femme ayant dépassé le septuagénariat, et ma honte crût encore : moi, jeune et beau, contraint au service sexuel d'une femme ayant le triple de mon âge ! J'étais aussi humilié physiquement que psychiquement.
J'arrivai à sa chatte à la toison clairsemée, autre preuve de sénescence. Sa fente vaginale était si longue, ses lèvres si molles, que je dus y enfouir le visage pour la lécher. J'étais donc obligé de respirer également dedans, ce qui là aussi doublait mon humiliation. Lorsque j'en vins aux seins, que je n'avais jusqu'ici vus que lorsqu'elle avait le buste droit, il étaient si aplatis sur son torse que je ne parvins même pas à prendre ses tétons entre mes lèvres. Alors elle leva les bras pour que je lèche ses aisselles, aux poils là aussi devenus heureusement rares.
"Mets-toi sur le flanc" murmura t-elle. Je m'exécutai : sa main gauche saisit mon sexe, la droite ma nuque, et elle vint écraser ses lèvres sur les miennes. Une langue épaisse les força et irruptionna dans ma bouche qu'elle se mit à explorer comme une entité extra-terrestre dans un film d'horreur des années 80. Surpris, j'ouvris les yeux, et cette face avachie si proche, aux yeux délavés par l'âge, me donna la sensation de me faire rouler une pelle par un camélidé.
Elle se tourna alors sur le ventre et, sans surprise, m'ordonna de lui lécher le cul. Je couvris de baisers ses énormes fesses, puis léchai sa raie du cul de bas en haut, enfin enfonçai ma langue dans son anus et lui imprimai un mouvement rythmique. Elle poussa un soupir d'aise et s'abandonna à cette célébration de son intégral ascendant sur moi.
Quand elle en eut assez, elle chuchota "Prends-moi, maintenant", mais sans modifier sa position corporelle. Interloqué, je lui objectai qu'il faudrait qu'elle se retourne, ou à tout le moins qu'elle relève son bassin. "Par derrière" souffla t-elle alors. Stupéfait, mais voyant la fin proche, je m'allongeai sur elle et, dans le même mouvement, enfonçai ma queue, qu'elle avait su faire raidir, dans son rectum. La facilité avec laquelle je la pénétrai montrait sans conteste que j'avais affaire à une pratiquante confirmée !
"Curieux" pensai-je en éjaculant dans son duodénum "domina et sodomite à la fois ! Je me demande quelle autre surprise me réserve la Maorie" - tant il était évident que je n'étais pas au bout de mes peines, ni de mes étonnements, avec ces deux-là.
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